Il est des morceaux qui détiennent ce quelque chose de magnétique, qui fait que l'on se voue corps et âme à ce même titre, des heures entières, en boucle, sans penser qu'on pourrait passer, aux yeux de nos amies les plantes, pour des autistes éperdus.
D'où vient ce scratch auditif ?
Un tempo ?
Une voix ?
L'artiste tout court qui a trouvé le savant mélange de l'addiction auditive ?
Quelque soit ce secret, il faut visiblement croire que ADELE se sert de ce talon d'Achille.
Après son ''Rolling in the deep'', elle nous lâche sans prévenir un album bordé du coton de la soul, dans une ambiance où on la voit parfaitement appuyée sur un énorme piano, une cigarette sur son support, enfumant parfaitement son entourage épris.
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