Non, je ne parlerai pas de mon désarroi, ni de mon suicide virtuel, ni du cri le plus long du monde qui s'opère dans mon ventre, suite à l'annonce de la fin de Noir Désir ...
Je ne parlerai pas non plus de cet espoir palpable que j'eus eu un instant de les voir en concert, et qui est toujours en train de tomber à toute vitesse avant de s'écraser six pieds sous terre dans peu de temps.
Non je n'en dirai mot, parce que tout le monde en parle.
Malgré tout, et contre ma propre volonté (eh oui), je me résigne à être
d'accord avec Denis Barthe, qui dit je cite :
"On ne va pas maintenir Noir Désir en respiration artificielle pour de sombres raisons".
Une semaine après ça fait toujours aussi mal! Le deuil va être long bien que pour beaucoup ce groupe n'existait déjà plus depuis 2003...
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